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Comprendre la poussière pour mieux l’éliminer !

Comme vous le savez, la poussière est présente partout : sur les écrans de télé, la table de la salle à manger ou du salon… Bref, elle va partout!

De quoi est-elle donc composée ?

La poussière est composée d’un mélange de fibres de papiers et de textiles, de cheveux, de poils d’animaux, de fragments d’insectes et de cellules mortes (peau humaine), de débris alimentaire, de champignon, de polluants intérieurs et extérieurs. On peut même retrouver des particules météorites, car il y a aussi de la poussière dans l’espace! La terre laisse entrer elle-même entre 30 000 à 40 000 tonnes de poussières spatiales par an…

Comment elle se forme, cette poussière ?

Un tiers environ de la poussière du foyer est créée à l’intérieur de la maison. Sa composition varie en fonction de l’ancienneté de la maison, du climat, du ménage et des cigarettes fumées ou non dans le logement. Alors, qu’est-ce qu’on y trouve ? Des peaux mortes surtout, la vôtre et celle de votre animal de compagnie, mais aussi des insectes en décomposition, de la nourriture et même des produits chimiques provenant des habits et des meubles.

Ces débris extrêmement légers, se retrouvent en suspension dans l’air. Ils s’agglutinent et forment une poussière grâce à l’électricité statique. Prenons l’exemple des écrans : l’écran est chargé d’ions positifs et attire la particule de poussière qui, elle, est chargée négativement. Une fois que l’écran est éteint, les charges disparaissent, mais la poussière reste !

Quels sont les effets négatifs ?

Autour de sites industriels ou urbains, ou près des axes de transports, de sols pollués ou dans des bâtiments construits avec des matériaux toxiques (plomb, amiante…) la poussière contient souvent des toxines qui sont inhalées, notamment par les enfants, qui sont plus actifs et portent leurs mains et les objets à la bouche.

La poussière peut contenir du plomb, source de risques de saturnisme, notamment pour les enfants, y compris dans le logement.

Même quand elle n’est pas toxique, l’inhalation chronique de poussière induit des cancers (cancer du meunier et du boulanger qui ont inhalé beaucoup de farine par exemple, ou du menuisier exposé aux sciures fines et poussières de bois, lors du ponçage notamment).

La poussière contient des contaminants et des allergènes chimiques, mais aussi biologiques (ex : spores de champignons, de mousses, de fougères, des acariens et des pollens). Les pollens sont en ville exposés à des polluants et à des phénomènes d’abrasion qui dégradent leur cuticule externe et en mettant au jour des molécules allergènes n’entrant normalement pas en contact avec les muqueuses (œil, cavité nasale, bouche, poumon, etc.). Les poussières d’origine organique (issues par exemple de la dégradation de plumes ou de la desquamation de la peau) contiennent des acariens, dont les excréments peuvent également être très allergènes pour les personnes sensibles.

Les poussières sont le support de nombreux acariens, microbes, virus et de parasites qui ne pourraient vivre longtemps en suspension dans l’air, mais subsistent dans la poussière. L’hygiène veut donc qu’on opère dans des salles blanches, qu’on traque les poussières dans les hôpitaux et les lieux de soins, tout particulièrement autour des allergiques (asthmatiques en particulier).

Selon certains chercheurs de l’Université de Bristol et de l’University College de Londres en Angleterre, l’exposition à une certaine espèce de bactéries présentes dans la poussière agirait sur notre santé mentale. Ces bactéries (Mycobacterium vaccae) ont un effet semblable aux antidépresseurs en stimulant dans le cerveau la production de sérotonine, le neurotransmetteur qui fait qu’en cas de manque on plonge en dépression. Ces études menées sur des rongeurs, permettent de mieux comprendre le rôle de certaines poussières sur le système immunitaire des êtres vivants.

Nous ne pouvons donc pas l’éviter, mais il est possible de réduire au minimum sa présence.

Voici quelques conseils à mettre en pratique :

– Nettoyez ou changez vos filtres à air,  ou investissez dans l’achat d’un purificateur d’air

– Passez l’aspirateur et lavez vos planchers toutes les semaines

– Nettoyez la poussière avec des chiffons en microfibre

– Lavez vos draps une fois par semaine

– Passez l’aspirateur sur les meubles en textiles (canapé, fauteuils…) au minimum une fois par mois

– Enlever les vêtements extérieurs comme les blousons et adopter une politique familiale sans chaussure est une façon de réduire l’exposition intérieure aux polluants de l’extérieur. Les dessous de chaussure sont repoussants: 96% portent des traces de bactéries de matières fécales sur leurs semelles, y compris la C.Difficile résistante aux antimicrobiens, et plus de 90% de ces bactéries sont transférées aux planchers. Ajoutez les toxines provenant des résidus d’asphalte des routes et les perturbateurs endocriniens des produits chimiques d’entretien des pelouses, tous deux cancérigènes, et la recommandation devient encore plus claire – pas de chaussures de l’extérieur dans la maison

 


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